Originaire du Locle et des Ponts-de-Martel (NE). Né (Christian Dubois) à Bienne le 21 janvier 1949. Jurassien d'origine, naturalisé canadien (1975), il possède les deux nationalités. Fils de Marcel Dubois, chef électricien (décédé en 1983) et d'Anne-Marie Scherrer, ménagère. Filleul de Georges Scherrer. Epouse Augusta Mercantini, préposée aux ventes, d'origine italienne, avec qui il a deux filles. Catholique. Apprentissage de technicien en électronique (1965-1969) chez Omega à Bienne et Ecole professionnelle de Saint-Imier (1965-1969). Cours de comptabilité à l'Université de Sherbrooke (Canada, 1972). Il débarque à Montréal le 7 octobre 1969. Arrivé comme technicien en électronique dans un laboratoire de l'Université McGill de Montréal (1969-1971), D. se lance ensuite dans la finance et les assurances, puis dans la restauration, branche dans laquelle il travaille pour différentes chaînes. Vice-président exécutif, chaîne de comptoirs de crème glacée (concessions) de 1975 à 1979. Puis, en 1979, il s'installe à Pierrefonds, dans l'ouest de la ville. En 1981, il reprend un service de traiteur à son compte et sera ainsi traiteur-propriétaire à Montréal jusqu'en 1995. Au milieu des années 1990, les affaires étant plus difficiles, il se réoriente professionnellement suite à la rencontre d'un Zurichois qui exerce dans la sécurité routière. Depuis 1995, D. est président d'Onix International, société oeuvrant dans le domaine de la sécurité routière au Canada, et représente des multinationales de la profession auprès des villes et des ministères des transports provinciaux. Très engagé dans les milieux économiques, il est membre-fondateur du Programme 'conomique de Pointe-St.Charles (PEP, 1985-1988), membre du conseil de la Caisse Populaire St-Charles de Montréal (1988-1995), vice-président du Fonds d'Emplois Montréal (FTQ), oeuvrant dans le développement économique (1988-1990), membre du conseil du Regroupement 'conomique du Sud-Ouest (RESO, 1988-1992), enfin membre du conseil du Centre Local de Développement (CLD) dès ‏2‏006. Fortement impliqué dans les milieux communautaires, il tente une première fois sa chance en politique municipale au début des années 1990 dans un quartier pauvre de l'est montréalais, Pointe-Saint-Charles, dans lequel il tenait un service de traiteur. Sa candidature échoue. En 2003, il fait son retour sur la scène politique et milite contre les « défusions » des anciennes villes de l'île de Montréal (les 28 villes ont été fusionnées le 1er janvier 2002), prônées par le libéral Jean Charest, qui prend alors la tête de l'exécutif provincial. Le 20 juin 2004, l'arrondissement de Pierrefonds vote et reste dans la ville de Montréal. Fort de ce succès, il se lance dans la campagne électorale, couronnée de succès puisque le 6 novembre 2005, D. est élu Conseiller de (la) Ville de Montréal, remportant l'un des 64 sièges de la principale instance décisionnelle de la grande ville sous les couleurs de l'Union des citoyens et des citoyennes de l'île de Montréal (UC'M, le parti du maire sortant de Montréal Gérald Tremblay). Il est membre du Conseil de Ville ou Conseil municipal (un des législatifs) de Montréal depuis le 1er janvier 2006 (mandat de quatre ans), où il représente l'arrondissement de Pierrefonds-Roxboro (district Est) et siège également au sein du Conseil d'arrondissement (exécutif local aussi appelé mairie d'arrondissement) de ce dernier. Membre de la commission permanente du Conseil municipal sur la mise en valeur du territoire, l'aménagement urbain et le transport collectif (2006-). Lors de l'élection à son premier mandat en politique municipale, il a battu trois adversaires en obtenant plus de votes que l'ensemble des trois autres combinés. Pour marquer cette victoire, il ajoute un « G. » au milieu de son nom, afin d'honorer la mémoire de son parrain Georges Scherrer, célèbre municipal de Delémont. Président de l'association des parents du Collège Sainte-Marcelline ('cole privée de filles) de 1997 à 2001.