Né à Court le 24 novembre 1889. Mort à Court le 3 octobre 1973. Marié le 20 octobre 1921 à Clémence Marchand, quatre filles et un garçon. Industriel.
R. effectue toute sa scolarité à Court. A sa sortie de l’école, il se tourne vers l’industrie mécanique. En 1912, il s’associe avec son beau-frère, Albert Affolter, pour fonder la fabrique l’Essor, active dans le décolletage et la production d’ébauches ancre et cylindre. Dans les années 1930, l’entreprise devient, avec l’usine E. Meyer & Fils de Pontenet, une des plus ferventes opposantes au cartel horloger.
Membre de la bourgeoisie et conseiller municipal, R. fut également président de la Commission scolaire (1933) et maire de Court (1948-1951). Membre fondateur de l’Eglise baptiste de Court.
R. effectue toute sa scolarité à Court. A sa sortie de l’école, il se tourne vers l’industrie mécanique. En 1912, il s’associe avec son beau-frère, Albert Affolter, pour fonder la fabrique l’Essor, active dans le décolletage et la production d’ébauches ancre et cylindre. Dans les années 1930, l’entreprise devient, avec l’usine E. Meyer & Fils de Pontenet, une des plus ferventes opposantes au cartel horloger.
Membre de la bourgeoisie et conseiller municipal, R. fut également président de la Commission scolaire (1933) et maire de Court (1948-1951). Membre fondateur de l’Eglise baptiste de Court.
Auteur·trice du texte original: Johann Boillat, 25/06/2020
Bibliographie
Le Journal du Jura, 4 octobre 1973.
Johann Boillat, « La liberté n’a pas de prix ! Les dissidents du cartel horloger suisse (1931-1941) », Chronométrophilia, 77, 2015, pp. 63-80, spéc. pp. 71-74
Johann Boillat, « La liberté n’a pas de prix ! Les dissidents du cartel horloger suisse (1931-1941) », Chronométrophilia, 77, 2015, pp. 63-80, spéc. pp. 71-74
Iconographie
Source : Le Journal du Jura, 4 octobre 1973
Suggestion de citation
Johann Boillat, «Rossé, Georges (1889-1973)», Dictionnaire du Jura (DIJU), https://diju.ch/f/notices/detail/1003778-rosse-georges-1889-1973, consulté le 06/12/2023.