Né le 31 mai 1898 à Bévilard où son père, Alois Charpié, est pasteur. Décédé le 13 avril 1975 à Bienne.
En 1910, C. s'installe avec sa famille à Bienne où son père a été nommé. Il entreprend le Gymnase mais arrête après deux ans et effectue un apprentissage de commerce à la SBS à Bienne. Après des stages à Berne et Lausanne, il est engagé comme employé de banque à Marseille (1924). Licencié pour des raisons économiques, il travaille quelques temps comme docker avant de revenir à Bienne en 1926. En 1929, il est nommé traducteur officiel de la municipalité de Bienne. Il prend sa retraite en 1963.
Membre du Parti socialiste romand dès 1927, il siège au Conseil de ville de 1933-1934 et de 1953-1956. Président de la Fédération socialiste jurassienne (PSJ) de 1936 à 1940. Il est l'un des principaux initiateurs du Courrier biennois (devenu ensuite Le Courrier romand), revue du PS romand.
Membre de la commission du gymnase de langue allemande 81936-1940), il participe aux travaux qui aboutiront à la création du gymnase de langue française.
A l'armée, C. atteint le grade de premier-lieutenant.
En 1910, C. s'installe avec sa famille à Bienne où son père a été nommé. Il entreprend le Gymnase mais arrête après deux ans et effectue un apprentissage de commerce à la SBS à Bienne. Après des stages à Berne et Lausanne, il est engagé comme employé de banque à Marseille (1924). Licencié pour des raisons économiques, il travaille quelques temps comme docker avant de revenir à Bienne en 1926. En 1929, il est nommé traducteur officiel de la municipalité de Bienne. Il prend sa retraite en 1963.
Membre du Parti socialiste romand dès 1927, il siège au Conseil de ville de 1933-1934 et de 1953-1956. Président de la Fédération socialiste jurassienne (PSJ) de 1936 à 1940. Il est l'un des principaux initiateurs du Courrier biennois (devenu ensuite Le Courrier romand), revue du PS romand.
Membre de la commission du gymnase de langue allemande 81936-1940), il participe aux travaux qui aboutiront à la création du gymnase de langue française.
A l'armée, C. atteint le grade de premier-lieutenant.
Auteur·trice du texte original: Emma Chatelain, 24/07/2008
Dernière modification: 24/07/2015
Bibliographie
Auguste Rial, « Théodore Charpié », Annales biennoises, 1975, p. 135-136
François Kohler, Le Parti socialiste et la Question Jurassienne 1947-1974, Genève, 1979
François Kohler, Le Parti socialiste et la Question Jurassienne 1947-1974, Genève, 1979
Suggestion de citation
Emma Chatelain, «Charpié, Théodore (1898-1975)», Dictionnaire du Jura (DIJU), https://diju.ch/f/notices/detail/6472-charpie-theodore-1898-1975, consulté le 20/01/2025.